La lutte gréco-romaine et le jiu-jitsu brésilien sont deux arts martiaux aux prises avec de nombreuses similitudes et différences. Ces deux arts martiaux sont pratiqués dans le monde entier et ont prouvé leur efficacité dans les compétitions de MMA.
Voyons comment les deux styles de lutte correspondent en comparant la lutte gréco-romaine et le jiu-jitsu brésilien. Dans cet article, nous discuterons de l’histoire de chaque sport et comparerons leurs similitudes et leurs différences.
Sommaire
Qu’est-ce que la lutte gréco-romaine ?
La lutte gréco-romaine est un style de lutte qui s’est développé au cours des années 1800. La lutte gréco-romaine est basée sur la lutte de style folklorique, qui était le principal type de lutte pratiquée en Europe.
Voici une vidéo expliquant ce combat :
Dans la lutte gréco-romaine, vous ne pouvez abattre votre adversaire qu’avec des mises au sol et des lancers depuis ses hanches et vers le haut. Certaines personnes ont décrit la lutte gréco-romaine comme du judo sans GI, car les deux sports donnent la priorité aux éliminations et interdisent les attaques aux jambes.
Histoire de la lutte gréco-romaine
La lutte gréco-romaine a été développée dans les années 1800. La personne créditée pour avoir conçu ce style était un soldat français appelé Jean Exbrayat. L’une des premières règles établies était l’interdiction des prises et des retraits sous la taille. De plus, aucune soumission n’a été autorisée pour s’assurer que personne ne soit blessé.
La lutte gréco-romaine deviendrait répandue dans toute l’Europe. Le nom de lutte gréco-romaine a ensuite été désigné par le lutteur grec Basilio Bartoletti. Basilio a utilisé ce terme car on disait que le style était comparable à la lutte pratiquée dans les anciens Jeux olympiques grecs. Bien que ce ne soit pas similaire à la lutte grecque antique, le nom est resté et le sport a gagné en popularité.
La lutte gréco-romaine aujourd’hui
La lutte gréco-romaine est l’un des styles de lutte les plus pratiqués dans le monde aujourd’hui, en particulier dans les pays d’Europe de l’Est, qui produisent les meilleurs lutteurs gréco-romains. La lutte libre et la lutte gréco-romaine sont les deux seuls styles de lutte qui sont des sports olympiques officiels.
Similitudes et différences
La lutte gréco-romaine et le jiu-jitsu brésilien partagent de nombreuses similitudes. La lutte gréco-romaine et le jiu-jitsu brésilien sont tous deux efficaces en MMA. Les éliminations sont enseignées dans les deux styles. Aucune frappe n’est autorisée dans l’un ou l’autre sport ou autorisée en compétition. Ces deux styles de grappling ont des objectifs très différents pour gagner dans leurs compétitions.
Dans le Jiu-Jitsu brésilien, il existe deux manières différentes de gagner un match. Ces méthodes incluent l’obtention d’une soumission ou le fait de marquer le plus de points pendant le match. Les points en Jiu-Jitsu ont gagnés en exécutant avec succès des techniques telles que les démontages, les balayages et le passage de la garde. Les combattants obtiennent également des points pour le contrôle d’une position dominante, y compris le genou sur le ventre, la monture ou la prise du dos.
La lutte libre est bien plus efficace pour le MMA que la lutte Gréco Romaine. Aucun lutteur ayant percé au plus haut niveau dans le MMA ne vient de la Gréco Romaine. Ce sont tous d’anciens lutteur libre (Cejudo, Romero, Usman, Cormier…). Et c’est logique, puisque les amenées au sol utilisées en MMA sont aussi des attaques au niveau des jambes de l’adversaire. La lutte libre est plus complète, et au passage bien plus pratiquée dans les pays d’Europe de l’est, à l’exception de certains pays, comme la Serbie.